C'est vrai qu'il y a quelque chose d'homerique dans cette deuxième partie, dialogue entre les hommes transmutés en éléments. Ça faisait longtemps que j'avais pas voyagé en Provence avec Giono et y'a pas à dire, je suis à chaque fois saisi par sa manière de donner vie au vent, aux arbres, aux animaux. Il y a un flot de vie en toutes choses, et les bergers en sont les traducteurs.
Le serpent d'étoiles
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