« Tout s’est donc passé comme si ma jeunesse et le désir de vivre qui m’habitaient m’avaient protégée »
Ce livre, devrait être présent dans tous les foyers. Il devrait se transmettre de génération en génération.
Parce que les mots de Simone VEIL ne peuvent se conter différemment.
Parce que son témoignage est précieux et doté d’une vive intensité.
Parce qu’il est l’Histoire. Il est le fruit d’une conférence devant les élèves de l’École Normale Supérieure, consacrée à la commémoration et réflexion à la Shoah. Pas n’importe quel jour. Un 13 avril.
Avec sobriété, Simone VEIL partage son histoire, celle de sa famille, celle de la Shoah.
Elle revient sur sa vie à Nice, son arrestation, sa déportation.
L’une de ses préoccupations est la mémoire de la Shoah et sa transmission aux nouvelles générations. Sans oublier le sort des enfants cachés, la réconciliation et l’unité européenne.
Ce récit, est une transmission nécessaire et indispensable qui se doit de perdurer, encore et encore.
Ce récit, « est un devoir d’histoire et un travail du mémoire ».
Pour les générations futures
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