Je me réjouissais de commencer le roman mais j'ai bien dû admettre que la préface d'Amin Maalouf m'a parue plus intéressante que le livre en lui-même. Peut-être suis-je complètement passée à côté de la charge contre le colonialisme que je pensais découvrir. Le récit m'a semblé caricatural, un vrai catalogue sur des moeurs africaines dépeintes comme primitives, voire arriérées.
Pétard mouillé
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