« Blaze » m’a offert un agréable moment de lecture malgré les quelques longueurs. Comme d’habitude, King réussit à créer une relation entre le lecteur et son héros (ici anti-héros) Blaze petite crapule (mais grand par la taille) qui souhaite kidnapper l’héritier des Gerard pour récupérer une rançon pour ensuite se la couler douce au soleil. Quant à la touche de fantastique, elle est juste ce qu’il faut pour l’accompagner dans son coup. On s’attache à ce personnage car, à l’aide de nombreux flashbacks, on découvre son parcours de vie qui nous amène à avoir de l’empathie pour lui.
Au final, à mon avis, c’est King qui parle le mieux de son roman dans l’introduction : « Ce bouquin est un fond de tiroir - d’accord. », « C’est un roman ancien, certes, mais je crois que je me suis trompé, autrefois, quand je l’ai déclaré mauvais. », « Je n’irai pas jusqu’à dire que j’espère que tu en auras un peu les larmes aux yeux, mais… »
Une lecture sympathique
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