Puisque La Grande Illusion est citée dans cet essai mémoriel, alors je citerai également un dialogue de ce film. Lors de l’échange entre les deux aristocrates, opposés par la guerre et ses devoirs, et que tout réuni par l’histoire et l’esprit.
« Je crains que ni vous ni moi ne puissions arrêter la marche du temps » et encore… « on a peut être plus besoin de nous ».
Faut-il lire ou relire Proust après cet essai? Là est la question!
Sauvera-t-il d’autres vies que celle de cette Princesse déconstruite? La mienne ou la vôtre? A suivre lors de prochaines lectures.
Un essai intéressant, érudit - c’est ici la moindre des choses en réunissant les faucons de Luynes et la cavalerie de Murat - et qui célèbre, à sa manière, la force du livre et le bonheur de la lecture.
Et puis… c’est dans les p’tits détails comme ça que l’on est snob ou pas!
La marche du temps
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