La tristesse et la peur façon Claude Ponti

Schmélele est pauvre, sa maison n'a ni murs ni toit, seulement une porte, et ses parents travaillent tellement qu'ils deviennent minuscules et disparaissent. Alors Schmélele et la porte Bâbe décident de partir. Schmélele ressent de la peur et tellement de tristesse qu'il "verse une grosse larme énorme et mouillée". Comme "après la pluie vient le beau temps", après la larme viendra un temps de joie pour Schmélele. Et sur ce parcours pour retrouver famille et bonheur, Schmélele va croiser des personnages qui l'aideront dans sa quête : Eugénie des larmes et Eugénie du rire, la carpe Hédième... Une histoire comme seul Claude Ponti sait les inventer pour parler de peur, de chagrin, mais aussi de bonheur dont il faut prendre soin...