Irrévérencieux et spectaculaire comme toujours avec Vallée
Le début de l’histoire n’est pas sans rappeler le film Sister Act ( Emile Ardolino, 1992 avec Woopy Goldberg ). Disons une version masculine et trash sur fond de règlement de compte et de trafic de drogue.
Avec un tueur à gage en cavale, alias le Père Philippe, dans le secret du confessionnal, l’œuvre aborde des thèmes comme la foi, la moralité et les apparences, souvent avec un humour noir et un ton critique.
Grâce à la grande maîtrise graphique de Vallée ( souvenez- vous de l’incroyable Katanga), Habemus Bastard est vraiment à la hauteur de toutes les attentes : bastons, flingues, surprises et un brin de philosophie.
Une lecture peu orthodoxe exactement comme je les préfère.
Relu deux fois le même jour, j’ai adoré et j’attends la suite avec impatience.
Lien vers mon blog littéraire : https://aikadeliredelire.art.blog/2024/05/20/levangile-selon-lucien/
Irrévérencieux et spectaculaire comme toujours avec Vallée
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