« Un interstice, une parenthèse dans l'enfilade des jours ordinaires... »
L'homme qui marche se perd parfois au détour d'une rue, d'un sanctuaire ou d'une rivière, toujours happé par les infinis détails qui l'entourent. Cet ode à la promenade et à la flânerie nous invite à ralentir notre marche effrénée, à comtempler notre monde en se resaisissant du temps, qui est devenu aujourd'hui rare et précieux.
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Cyclamen
Je n’aurais pas dit mieux, merci. Cette lecture nous apprend à vouloir contempler le dehors qui se veut être aussi beau que les dessins de ce livre.
Promenons-nous 🚶♂️
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Cyclamen
Je n’aurais pas dit mieux, merci. Cette lecture nous apprend à vouloir contempler le dehors qui se veut être aussi beau que les dessins de ce livre.
685 jours
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