Ce livre est l’idoine parangon de ce que l’on pourrait appeler l’Eudemonologie, au premier abord le lecteur pourrait avoir l’intuition de lire un recueil constitué de plusieurs aphorismes : sentences où maximes très courtes — à la manière de celles de La Rochefoucauld, il en est pas moins que celui-ci n’est que la sommation de paragraphes divisés en chapitres.
L’ouvrage est une leçon de prise de hauteur, Schopenhauer peine à restreindre ces réflexes métaphysiques et moraux, on comprend in fine que ce recueil original tend à souligner une chose fondamentale : ce que l’on est contribue plus au bonheur que ce que l’on a ou ce que l’on représente.
À titre d’opinion, mihi est visum :
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cuteintj
bien à vous monsieur
487 jours
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