Lecoindesmots- 23/12/2020

Uppercut

J’aurais aimé trouver les mots pour vous dire à quel point ce texte m’a touchée. Mais ces mots n’existent pas encore, je crois. Il faudrait en inventer des nouveaux. Inventer un mot pour dire l’amour maternel, à son paroxysme. Inventer un mot pour dire l’abnégation de cette femme, au profit de son enfant. Inventer un mot qui puisse traduire l’immense courage de Constance Debré. Mais, je ne suis pas une inventrice. Je ne suis pas poète. Les mots manquent à mon vocabulaire. Ce témoignage, je me le suis pris en pleine face. Comme une claque, foutue par une paluche immense et entraînée. Et en mode « aller-retour ». Parce que, dans ce témoignage, il y a tellement d’amour. Constance l’aime, son fils. Elle l’aime d’un amour fou. Et donc, pour son bien à lui, elle le laisse partir. Pour son bien à lui, elle laisse son ex la traîner dans la boue et faire d’elle « le mauvais objet ». Tout ce que fait Constance, c’est par amour. Un amour qui transcende tout. Laisser partir l’autre. Et rester sur le côté. N’est-ce pas l’une des plus belles preuves d’amour que l’on puisse offrir à quelqu’un ? Merci à vous, Constance Debré, pour ce texte qui transpire l’amour. Pour ces mots qui touchent, ces mots si justes. Merci pour cette mise à nue. Merci d’avoir osé. Le résultat ? Un témoignage bouleversant, criant de vérité.

Mina

Il va sortir en film bientôt !! J'ai hâte

1416 jours