Aussi abscon qu’un Lautreamont mais avec le besoin de références encyclopédiques pour suivre. C’est voulu. Cela empêche une approche instinctive comme avec, justement, Isidore Ducasse. Ça n’empêche pas que l’on reste fasciné à la lecture par l’entreprise démentielle de cette œuvre.
Rude.
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