Dans ce nouveau roman, Catherine Poulain nous parle de son amour pour les bêtes, de son humanité envers elles.
Des fourmis de son enfance en passant par les mouches, les crapauds, la tortue trouvée, les oiseaux tombés du nid, la fauconne borgne, les oiseaux marins englués par le naufrage de l’Erika, elle nous parle de son enfance, de sa vie, de ce qui l’a forgée.
Elle voulait être ermite ou vétérinaire. Elle sera une baroudeuse qui ne peut rester en place. De ses montagnes natales au Canada, aux Etats-Unis et d’autres lieux encore, elle est menée par un instinct farouche qui la pousse à partir toujours plus loin.
Retirée dans le Médoc où elle s’occupe de vignes, elle essaye de comprendre sa part animale et sa sauvagerie.
Ce roman se lit très facilement, un ode à la vie, la nature. Un plaidoyer pour la fragilité des animaux sauvages qui devraient le rester au risque de mourir.
Lu d’un seul tenant.
J’ai beaucoup aimé.
Plaidoyer pour les animaux sauvages
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