Les mots m'échappent un peu, Cortazar se faufile entre mes synapses. La même main a écrit ces huit nouvelles, mais tel un prisme déformant la lumière, huit rayons distincts sortent des pages. Cortazar mute, fait semblant de se cacher derrière des jeux littéraires opaques et sans cesse renouvelés.
Mais la raison d'être est toujours la même. Derrière les jeux il y a cette angoisse de la mort et celle de l'amour. Chercher à les apprivoiser en biais, en transitant par ces petits dispositifs ludiques, voilà le projet de Julio.
Octaèdre
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Octaèdre
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