Tout cela pour une femme qui ne me plaisait même pas
Les dernières lignes du roman de Proust résonnent comme un écho lourd et pesant d'une réalité dont il est impossible de se défaire.
Lire Proust c'est subir des phrases à rallonges teintée d'un ennui mortel qui débouchent sur un éclair de logique et de réalisme, le genre de phrase qui vous désarme face au déni, qui mettent en lumière les mots qu'on cherche à poser depuis des mois sur une situation intenable qui vous serre la gorge et tord le ventre, à rendre l'expression d'un sanglot impossible.
Tout cela pour une femme qui ne me plaisait même pas
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