Milieu du XIXème siècle, près de New-York. Pour s’éloigner de la ville et de l’épidémie de choléra qui y fait rage, un homme se réfugie à la campagne chez un ami. Confiné, et profondément déprimé, il passe son temps à lire et à observer la nature environnante. Un jour, il remarque une créature monstrueuse dans le lointain : énorme, poilue, munie d’une trompe et de deux ailes immenses recouvertes d’écailles qui représentent le motif d’une tête de mort, elle se dirige vers la maison et pousse un cri terrifiant… L’homme est si effrayé qu’il s’évanouit. Lorsqu’il reprend connaissance, la bête a disparu… Encore sous le choc, l’homme hésite toutefois à raconter tout de suite cette vision d’horreur à son ami. Lorsqu’il se décide à le faire, quelques jours plus tard, son hôte l'écoute attentivement et tente de le rassurer…
Cette (très) courte nouvelle de Poe (dont la « morale » pourrait être que tout est une question de perspective) ne m’a pas vraiment convaincue (mais vu le nombre de pages, j’aurais vraiment mauvaise grâce de me plaindre), autant sans doute que l’explication rationnelle que l’ami du narrateur lui a fourni…
Illusion et perspective 🦋
0aime∙0commentaire
Votre commentaire...
Le sphinx : et autres contes
Edgar Allan Poe
Oeuvres classiques
A lire au crépuscule : et autres histoires de fantômes
Charles Dickens
Le pêcheur et son âme : et autres nouvelles
Oscar Wilde
Le château de Pictordu : conte
George Sand
Les groseilliers : et autres nouvelles
Anton Pavlovitch Tchekhov
Meurtres en douceur : et autres nouvelles
Ray Bradbury
Apparition : et autres contes de l'étrange
Guy de Maupassant
La légende de Sleepy Hollow
Washington Irving
Le cambriolage d'Hammerpond Park : et autres nouvelles extravagantes
Herbert George Wells
Le coup de pistolet : tiré des Récits de feu Ivan Petrovitch Belkine
Aleksandr Sergueïevitch Pouchkine
Ignace Denner
Ernst Theodor Amadeus Hoffmann