Tout démarre comme on en a l’habitude: des hommes de pouvoir discutent, des mariages sont en préparation ; une jalousie nait, et l’intrigue est lancée. Mais très vite, William nous sert un imbroglio d’une ampleur inégalée : un quatuor dans la confusion la plus totale, et trois mondes entrelacés (Athènes comme monde naturel, le supra-naturel des fées, et enfin la représentation de théâtre, quasi « extra-naturel » dans le sens où elle est une mise en abîme de la pièce elle même)… Ici, même les personnages magiques sont confus et se trompent. Pièce réflexive, mise en scène dans la mise en scène, moquerie habile des travers de ses contemporains, Le Songe est une réussite totale.
Le songe d'une nuit d'été
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Le songe d'une nuit d'été
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Théâtre
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Tartuffe
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