Par le biais de la quatrième de couverture, il est dit que ce fut un des tous premiers romans du grand Alexandre Dumas. Récit narré avec pertinence et rythme, à la première personne, mesurant environ 200 pages et baignant dans une atmosphère gothique.
Les protagonistes sont tous très attachants. L’auteur y fait bon nombre de références culturelles propres à cette époque à laquelle ce livre fut écrit (Franz Liszt y fait une apparition en interprétant « L’invitation à la valse » de Weber au piano dans une salle de bal).
Nous sommes en plein milieu du XIXe siècle et la jeune Pauline est enfermée dans un caveau. Elle ne s’attendait à aucuns secours jusqu’à ce qu’un dénommé Alfred de Nerval n’apparaisse.
Comment a-t-il pu avoir vent de l’endroit où on l’avait enfermée ?
Par quelle miséricorde s’est-elle retrouvée en ces lieux ?
Et par dessus tout, qui est donc l’auteur de ce mystérieux enfermement ?
Juste bouleversant. Je n’ai pu retenir mes larmes sur les dernières pages. Dumas parvient avec une magie propre à lui-même, gorger d’émotions et de sentiments des personnages magnifiquement composés.
Selon moi, un incontournable de la littérature du XIXe
Intrigue, effroi et tristesse.
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Pauline
Alexandre Dumas
Oeuvres classiques
Bel-Ami
Guy de Maupassant
Au bonheur des dames
Emile Zola
La Peau de chagrin. Tome 2, éd 1833
Honoré de Balzac
On ne badine pas avec l'amour : 1834
Alfred de Musset
Claude Gueux
Victor Hugo
Le barbier de Séville ou La précaution inutile : comédie
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Le Cid : tragi-comédie, 1637
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Le diable au corps
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Histoire de la princesse de Montpensier. Histoire de la comtesse de Tende
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Andromaque : tragédie : 1667
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