Woozz- 24/04/2020

La Vénitienne

Pourquoi ces nouvelles ne m'ont pas particulièrement touchés, c'est un mystère. La plume de Nabokov résonne d'écho lyriques lointains, et l'intervention parfois du fantaisiste, voire du fantastique, donne une saveur piquante à cette écriture chimérique, mi-russe mi-americaine. Mais le détachement du texte sur lui-même s'est accroché à moi, et un vague sentiment d'ennui s'est immiscé puis définitivement installé. Je ne doute pas que mes prochains contacts avec Naboko serons plus fructueux (Ada, Lolita, j'arrive).