Kundera comme je l'ai connu dans L'Insoutenable légèreté de l'être mais plus épars et politique. Chaque partie s'intéresse à l'existence d'un ou plusieurs personnages. Point commun cependant, leur identité est conditionnée par le destin tourmenté de la Bohême, et la Tchécoslovaquie, si chère à son coeur, se trouve en toile de fond.
On retrouve les réflexions effrontées, cyniques mais si justes et profondes dont seul Kundera semble être capable.
La poésie surgit souvent dans ses tournures et m'enchante. La quatrième partie des lettres perdues reste ma préférée. J'avoue avoir été incommodée par les nombreuses occurrences sexuelles dont je ne comprends pas le sens à tous les coups... Il a sa façon d'aborder le corps, ça c'est sûr.
Du Kundera en voulez-vous
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