Woozz- 17/04/2020

La conscience de Zeno

Auto-psychanalyse en 1915, fortiche. C'est bien dommage que le premier chapitre soit le meilleur : petit à petit ça s'étiole, ça se répète, et l'égoïsme de Zeno (caractéristique qui guide entièrement sa vie) fini par ne plus être un ressort aussi efficace qu'au début : s'il est d'abord touchant, il en devient agaçant, puis complètement insupportable. Je n'arrivais plus à m'attacher à cet être mou et autolâtre, même si ponctuellement, sa faiblesse m'émeut.