J'ai beaucoup plus apprécié la deuxième partie : Dolce. En particulier l'histoire de Lucile et de l'Allemand, soldat ennemi qui m'a inspiré énormément de sympathie et de tendresse. J'ai aimé la façon d'évoquer l'histoire : il n'y a pas de gentils et pauvres petits français tout tristes face aux machiavéliques et démoniaques nazis (muahaha, rire de méchant), il n'y a que des soldats, des familles, de la peur et du chagrin attisant la haine pour l'ennemi. Les allemands ne sont pas des gros bâtard d'opportunistes (pas en majorité), ce ne sont que des hommes au service de leur pays. Comme le dit Bruno von Falk (l'Allemand) à Lucile : « Madame, je suis soldat. Les soldats ne pensent pas. On me dit d'aller là, j'y vais. De me battre, je me bats. De me faire tuer, je meurs. L'exercice de la pensée rendrait la bataille plus difficile, et la mort plus terrible. »
⭐⭐⭐,5
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