Finalement que les dialogues ne suivent pas les signes typographiques habituels rend la lecture fluide. Mais je n'ai pas compris l'absence de majuscule aux noms propres.
De beaux passages, ça rafraîchit la mémoire sur pas mal d'épisodes bibliques. Ça pose sans cesse la question de la bonté de Dieu, Caïn étant toujours là pour lui rappeler qu'il est méchant et qu'il ne comprendra jamais la nature humaine. De là comment pourrait-il exercer une justice sur les hommes ?
Caïn petit insolent témoin du méchant dieu
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