Hiamlea- 26/09/2024

Les poussins ne m'ont pas séduite

J’ai été globalement très déçu par ce livre. Pour commencer, car c’est ce qui prend le plus de place dès le début : la relation entre Norie et Penny. J’espérais que cette histoire de "poussins” ne serait présent qu’au début pour montrer l’immaturité des personnages qui évoluraient. Mais me voilà, 300 pages plus tard, toujours entourée du “club des piafs”. C’est ce que je retiens le plus de ce livre : l’immaturité de Norie, qui ne permet pas de prendre ses relations au sérieux. La relation de dépendance qu’elle entretien avec Penny est, en plus d’être toxique, mise sur un pied d’estale pendant tout le livre. Seul Théo semble être logique, et ses conseils sont pertinents. Ce qui m’a le plus déçu dans ce livre, c’est le quiproquo qui occupe le dernier tiers du livre. Est-ce du à l’immaturité de Norie ? En tout cas, entendre Norie se complaindre dans son malheur, sans essayer de parler, m’a presque fait hésiter à arrêter de lire. Même la tentative de moral à la fin est bancale, elle ne dure que 3 pages alors qu’elle aurait du être abordée bien avant. Mon ressenti global sur ce livre est le même qu’au début : on dirait une histoire écrite par une personne de 15 ans, qui à hâte d’aller à la fac avec sa meilleure amie fusionnelle, son “poussin”.