1984, c’est un peu la pierre angulaire de la dystopie. Le roman qui met tout le monde d’accord et qui transcende les genres.
Je me souviens l’avoir commencé lorsque j’avais 14 ou 15 ans. À l’époque je ne l’avais pas fini, n’ayant pas pu venir à bout de la partie centrale (if you know, you know), mais en gardant un bon souvenir de ce que j’avais lu. En 2014 j’ai décidé de réessayer, et je suis finalement parvenue à le finir. Oui, cette partie centrale est compliquée à digérer, mais “le tout est plus grand que la somme des parties” (pardonnez ma traduction sommaire de l’expression originale anglo-saxonne, “the whole is greater than the sum of its parts”, mais vous avez l’idée).
Malheureusement, j’ai l’impression que plus le temps passe, plus la lecture de ce roman s’apparente au présent (ou du moins à un futur proche), et moins à un futur lointain et dystopique. C’est assez effrayant, et en même temps on ne peut s’empêcher d’applaudir le génie d’Orwell et à quel point il a été visionnaire sur bon nombre d’aspects de la société.
1984
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