Alexandra_Z- 11/09/2023

Tout dans cette saga de fantasy orientale m’a conquise 🕌 💧

Je termine à regret le troisième tome qui clôt une lecture époustouflante, du début à la fin. J’ai rarement lu un roman aussi haletant, c’en était irrespirable parfois, mais je ne pouvais pas m’arrêter. Les personnages me sont devenus si proches, si familiers au fil du temps, que j’avais envie de leur hurler dessus quand les décisions qu’ils prenaient m’agaçaient. Ali et Nahri resteront éternellement dans mon cœur. Ces deux protagonistes m’ont emportée dans leurs aventures et émue aux larmes. Spoiler alert dans ce qui suit ! Dans ce dernier tome, la cité de Daevabad est tombée. Ghassan, le roi Geziri, est mort. Nahri et Ali se sont enfuis avec le sceau de Suleyman, et la magie a déserté la cité. Tous les djinns ont perdu leurs pouvoirs. Pendant que Manizeh et Dara cherchent à reprendre le contrôle sur la cité en ruine, Nahri et Ali se reconstruisent. L’histoire prend des tournures incroyables et insoupçonnables. Les intrigues s’entremêlent et se détricotent, pour une fin en apothéose. Tout dans cette saga de fantasy orientale m’a conquise. Ce sont trois tomes foisonnants, avec des personnages qu’on aime et déteste tant ils sont réalistes, un folklore merveilleux, et une imagination débordante. Les réflexions politiques sont passionnantes, et la tolérance et l’espoir sont sous-jacents. Bravo, S.A. Chakraborty, et surtout merci de m’avoir fait autant rêver. PS : si vous pouvez, lisez-le en anglais. J’ai lu les tomes 1 et 2 en français, le tome 3 en anglais, et il n’y a pas photo : en version originale, c’est bien mieux.