Dôme. Vol. 1

Je l'ai adoré, dévoré, la fin m'a laissé perplexe. Mais en même temps c'est pour ça que je l'ai autant apprécié. L'histoire est bien ficelée, prenante et comme toujours j'ai adoré les personnages, notemment le fils de Big Jim. J'ai voulu regarder la série mais impossible de finir le 1er épisode, ils ont tout mélangé et enlevé des éléments importants.

J'avais lu Carrie de Stephen King et j'avais bien aimé, donc après la sortie de la série, je voulais lire "le dôme". Et bien, à ce jour, toujours pas fini 😂 L'écriture est très spéciale ainsi que l'histoire, c'est trop lent, très cru, très différent de la série (même si je ne m'attendais pas à que ça soit la même). Du Stephen King c'est spécial, mais je compte bien redonner une chance à ce bouquin! On verra bien😂

J’ai adoré l’histoire et je vais probablement lire le tome 2. Beaucoup de personnages à retenir heureusement qu’il y a une liste au début du livre 😅 Le seul point négatif pour ma part sont les 830 pages avec de longs passages qui pour moi étaient inutiles pour la compréhension de l’histoire (au point où je les ai passés). J’ai beaucoup apprécié la plume de l’auteur.

king avait prédit un confinement forcé bien avant le covid. On se laisse prendre par cette histoire bizarre. J’ai aimé la lecture toujours aussi prenante, le deuxième tome est un peu long. Un bon king. L’adaptation en série se laisse regarder.

J'ai dévoré les 2 tomes quand j'étais encore étudiante, je le feuilleta is pendant les pauses et on ne marretait plus. C'est pas l'ouvrage qui m'a le plus marquée, mais j'ai aimé l'ambiance farfelu, les huis clos, les complots. J'ai vraiment apprécié sa manière de mettre en scène la transformations des personnages. Petit à petit ou plus franchement selon leur caractères, ils évoluent et se métamorphosent au fil des pages, en prenant conscience qu'ils sont vraiment bloqués les uns avec les autres. Certains débloquent complètement, et vu qu'aucune autorité ne peut venir troubler leur petite vue, on tourne vite à la dictature. Encore une fois, sur support du fantastique, Le King nous refait le portrait de la bonne vieille Amérique raciste et mysogynes. J'adore