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Résumé
Regarde les hommes mourir Quand un moine bouddhiste explore le mythe d'un Phoenix crypto-fasciste, écrasé sous le soleil du désert, ça donne du polar chauffé à blanc où s'enchaînent non-stop bastons mémorables et scènes de cul torrides, dans une interrogation vertigineuse sur le bien et le mal, l'amour et la haine, l'individu et la société, la sagesse et la folie. « Ils ont pris en stop un type âgé d'une quarantaine d'années. Ils ont roulé dans le désert, ont garé le camion et sont tous descendus. Jésus et ses amis ont ordonné au mec de leur donner son argent et sa carte d'identité, ce que le mec a fait. Il leur a dit qu'il avait peur d'eux, leur a dit qu'il ne préviendrait pas les flics, qu'il souhaitait juste voir grandir son fils. Ils l'ont flanqué au sol et frappé à coups de pied jusqu'à ce que son pantalon soit plein de merde et que du jus de cervelle s'écoule de ses narines. » « Le monde est violent. Le monde est beau. Dans les temps difficiles, la réaction de beaucoup d'artistes consiste à battre en retraite. Leur sujet d'inspiration, c'est le salon et non le monde. Ils pratiquent l'évitement. Il leur est impossible d'allier horreur et beauté. Pourtant, le grand art devrait nous faire tomber de cheval, comme tomba Saul de Tarse. Barry Graham ne bat pas en retraite. L'écriture de Barry nous fait tomber de cheval. » Larry Fondation, auteur de Common Criminals, d'Unintended Consequences etc. « Bram Stoker... M.R. James... Stephen King... et maintenant Barry Graham. » Scottish Field Magazine