La popularité de ce livre sur Gleeph
Résumé
«Trois femmes éprises d'absolu: trois femmes qui n'en font qu'une. Et qui incarnent toutes les hantises de Virginia Woolf. Penché sur son épaule, Cunningham lui emprunte sa prose chatoyante, aussi légère qu'un songe; comme elle, il parvient à capter les plus infimes frissons de la conscience, les miroitements de l'âme, la délicate sismographie de la vie intérieure.» L'Express - André Clavel «C'est un livre éperdu dont les mailles scintillantes tentent désespérément de retenir l'essence de ce qui passe; [...] un livre de ferveur émouvant et magnifique.» Le Figaro littéraire - Claude Michel Cluny «La musique de Virginia Woolf a éveillé des résonances déchirantes chez Michael Cunningham.» Le Nouvel Observateur - Frédéric Vitoux «Toute velléité de pastiche a disparu et c'est de communion qu'il s'agit, les mains des deux écrivains s'agrippent nerveusement, le temps d'un miracle.» Libération - François Rivière «Les Heures sonnent comme un subtil mécanisme d'horlogerie aux rouages de dentelle noire. Assurément splendide.» Elle - Fabrice Gaignault Traduit de l'américain par Anne Damour. C'est à New York, à la fin du XXe siècle. C'est à Londres, en 1923. C'est à Los Angeles, en 1949. Clarissa est éditrice, Virginia, écrivain, Laura, mère au foyer. Trois femmes, trois histoires reliées par un subtil jeu de correspondances, dont l'émouvante cohésion ne sera révélée que dans les dernières pages... Tour de force littéraire, bouleversant de sensibilité, Les Heures ont été couronnées en 1999 par le Pen Faulkner et le Pulitzer. Au-delà d'une formidable réussite romanesque, cette oeuvre célèbre la féconde entente d'un trio qui exacerbe ici les pouvoirs de l'imaginaire: l'écrivain, son personnage et son lecteur.