Je serai vivante

118 pages d'un monologue quasi philosophique. Une jeune femme raconte son viol à un policier qui minimise l'acte. C'est un récit déconcertant car il est raconté d'une manière.... Poétique....

Chers amis lecteurs, Qu'est-ce que l'on peut espérer de pire, que le viol à son enfant ? "Je serai vivante" est tout bonnement, le monologue du viol d'une jeune fille. Perdue, dévastée, ne sachant plus quoi faire, elle raconte avec métaphores le crime qu'elle a subit. Puissant mais terriblement violant, le récit fait écho à la triste réalité qui frappe toutes ces femmes victimes d'agressions sexuelles. Le manque d'écoute, le manque d'aide. Malgré un bon fond, dénonciateur, j'ai trouvé que l'intrigue manquait de sens, je me suis souvent perdu dans les évènements qui s'enchainaient. Il reste cependant un bon livre pour faire écho à certaines des terribles histoires. A ne pas lire trop jeune selon moi, parler du viol peut-être difficile pour certains publics.

Je serai vivante raconte l’histoire d’une adolescente venue dans un commissariat après plusieurs mois de silence pour témoigner de son viol. Devant un officier qui ne la prend pas au sérieux. Elle nous délivre un témoignage poignant en criant la vérité sur ce viol… Ce roman a su me toucher et m’a retourné mes tripes. C’est un roman court qui a sut me faire plonger très rapidement la tête la première dans les pensés d’une jeune adolescente victime d’un viol… C’est un récit fort bouleversant que l’auteur a réussi a traiter avec brio. De plus, je trouve la plume de l’autrice très poétique et elle a un style d’écriture qui m’a beaucoup plu. Malgré que l’autrice aborde une thématique complexe, j’ai tout de même trouvé le récit incroyablement beau et marquant. Pour résumer, L’histoire de ce roman est difficile, bouleversant, troublant, déstabilisant et déchirant..

Livre vraiment bouleversant, de fort émotions ont était ressenti, frustration, dégoût, honte. Et la plume de l’auteur est juste splendide 🥰

J’ai été agréablement surprise par la plume de l’auteure, j’avais l’impression que c’était remplie d’oxymores. Elle décrit la violence d’une douceur, remplie de métaphores, c’était brutal et poétique ! La narratrice s’est faite agressée en dessous d’un cerisier et utilise la végétation pour parler de son corps, de ses peines, de sa dépression. Les descriptions du viol et de ce qu’elle ressent vis à vis de ça était woooow mais l’histoire de sa vie, sa famille m’a moins captivée, j’étais plus intéressée par le thème principal du livre. L’écriture m’a le plus marquée, c’était puissant et gracieux !